Veuillez excuser ce doublon, j'ai posté cet article ici par erreur. Il était destiné à Emprises de brises
Enfant... Enfant, je te montrerai les mille marguerites qui dansent au pré voisin, elles abritent des fourmis, des grillons, l'écureuil qui fouine, l'abeille courageuse, les futurs nids et les nouveaux, le bouton d'or et le trèfle odorant... Nous verrons le lièvre bondir entre les herbes dans la rosée Nous monterons sur la butte nous asseoir sur le vieux banc bien caché sous le cerisier et la glycine, à l'abri des regards, il abritera tes rires et le chat siamois, nous rejoindra Se lèvera un...
à Toulouse, peinte par Elisabeth Vigée Lebrun, la Baronne de Crussol
Pour le tableau du samedi chez Lady Marianne Pour info : "Peintre de la reine Marie-Antoinette, Elisabeth Vigée-Lebrun dut vivre une grande partie de sa vie en exil après la Révolution en raison de ses liens avec la cour. C’est l’une des plus grandes portraitistes de la fin du XVIIIème siècle. Vigée-Lebrun a peint ce tableau sur bois suite à un voyage dans les Pays-Bas. C’est une forme d’hommage à cette école de peinture. Le personnage tient une partition de l’opéra du musicien allemand Gluck, Echo et Narcisse. Il s’agit de l’un...
Pour le tableau du samedi chez Lady Marianne
J'ai choisi de montrer le tableau nommé La Joyeuse compagnie de Gherart Honthorst dit Gherart de la nuit On peut saluer son talent pour les clair-obscurs, comme les peignait Le Caravage qu'il admirait Voir à Rome la décapitation de Saint Jean Baptiste dans la belle église de Sainte Marie de la Scalla dont nous parle Jacqueline - ICI
En boutons courbés ou coeur vert bien ouvert une petite clématite
La giroflette fidèle au rendez-vous accompagne les fresias
Quand le soleil baisse le soir adoucit les collines - Rey dans la paix du soir...
J.S. Bach - Hélène Grimaud
A Notre Dame en grand péril... Etoile du matin, inaccessible reine, Voici que nous marchons vers votre illustre cour, Et voici le plateau de notre pauvre amour, Et voici l'océan de notre immense peine. Un sanglot rôde et court par delà l'horizon. A peine quelques toits font comme un archipel. Du vieux clocher retombe une sorte d'appel. L'épaisse église semble une basse maison. Deux mille ans de labeur ont fait de cette terre Un réservoir sans fin pour les âges nouveaux. Mille ans de votre grâce ont fait de ces travaux Un reposoir sans fin pour l'âme solitaire. **********...
Elles se sont bien ouvertes et je les montre en même temps pour Marie qui s'interrogeait sur le nom de cet arbre Il en existe des blanches et des roses panachées comme celles ci, elles sont fragiles mais si joyeuses
Le vieux noyer étend ses branches nues panachées de lierre bientôt il revêtira des bourgeons verts et tendres
Quatre futures jeunes mamans (premières mises bas attendues ce printemps) et 4 anelles de 1 an